Rome, 23 janvier (LaPresse) – « L'expulsion que la loi attribue au ministre de l'Intérieur a été identifiée comme la mesure la plus appropriée à ce moment-là, également en raison de la durée de l'interdiction de retour, pour sauvegarder la sécurité de l'État et la protection de l'ordre public, que le gouvernement place toujours au centre de son action ». C'est ce qu'a déclaré le ministre de l'Intérieur, Matteo Piantedosi, lors de la séance de questions au Sénat concernant le cas de Najeem Osema Almasri, chef de la police judiciaire libyenne, arrêté dimanche dernier à Turin, libéré hier et renvoyé en Libye.
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