Rome, 13 mars (LaPresse) – Le délit de menace à un corps politique, qui avait été reproché à l’entrepreneuse Maria Rosaria Boccia après la plainte de Gennaro Sangiuliano, a été requalifié en harcèlement, selon des informations obtenues par LaPresse. L’accusation de blessures reste maintenue, et de nouvelles charges d’ingérence illicite dans la vie privée et de fausses déclarations concernant l’organisation d’événements ont été ajoutées.
Boccia n’a pas nié sa relation avec l'ex-ministre Gennaro Sangiuliano, mais elle a nié toutes les accusations. Concernant la blessure à la tête "dénoncée" par l'ex-ministre Sangiuliano, elle aurait expliqué qu’elle était due à une chute et non à des coups, comme l’a révélé son interrogatoire devant les procureurs Giuseppe Cascini, Giulia Guccione et Barbara Trotta.
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