Rome, 26 mars (LaPresse) – Concernant le procès Visibilia, l’INPS précise que « l’Institut s’était constitué partie civile dans cette procédure afin d’obtenir réparation pour le préjudice patrimonial, le dommage lié au dysfonctionnement des services, et le préjudice moral, dont l’évaluation avait été laissée à l’appréciation équitable du juge ». Le préjudice patrimonial « résultant de l’usage illégitime de la CIG Covid a été intégralement indemnisé au cours du procès par les deux sociétés impliquées », indique un communiqué. « Avant l’audience d’aujourd’hui, les avocats des prévenus ont proposé à l’INPS le règlement du reste des dommages non encore indemnisés, offrant le paiement intégral du dommage lié au dysfonctionnement (tel que quantifié dans l’acte de constitution de partie civile) ainsi que du préjudice moral, selon une estimation conforme à ce qu’aurait raisonnablement pu décider le juge. À cela s’ajoute le remboursement des frais liés à la constitution de partie civile. Par conséquent, la défense de l’INPS a informé le juge d’audience préliminaire qu’après réception de ce dernier paiement, l’Institut révoquera sa constitution de partie civile. » L’INPS, ayant obtenu satisfaction de toutes ses créances pour les faits jugés, n’a en effet plus de titre à rester dans le procès.

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