Milan, 1er mai (LaPresse) – À propos des morts au travail, "nous avons besoin de justice, pas de vengeance. Ceux qui ont modifié les dispositifs de sécurité pour empêcher l’arrêt des machines, comme dans le cas de Luana D’Orazio, n’ont pas provoqué un accident — ils ont commis un meurtre et doivent être traités comme tels." Ce sont les paroles de Pierpaolo Bombardieri, secrétaire du syndicat Uil, dans l’émission Agorà sur Rai3, aux côtés de la mère de la jeune femme de 22 ans décédée dans un ourdissoir trafiqué de l’usine où elle travaillait, à Montemurlo, près de Prato.
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