Rome, 22 mai (LaPresse) – « Lorsque nous devons dénoncer quelqu'un, Pandori, Uova ou autre, nous n'avons aucun scrupule et nous le faisons. Le problème, c'est que lorsque vous devez envoyer un message fort au pays, vous avez besoin de personnes qui attirent l'attention et l'intérêt du public. Nous n'allons pas vérifier leur casier judiciaire et nous devons toujours voir s'ils ont été condamnés. Je ne pense pas que l'un ou l'autre (Chiara Ferragni et Federico « Fedez » Lucia, ndlr) ait été condamné par un jugement définitif pour un délit quelconque. Je ne vois pas pourquoi nous devrions les traiter comme des coupables, je ne vois aucun obstacle ». C'est ainsi que le fondateur et président du Codacons, Carlo Rienzi, a commenté aux journalistes la présence de Chiara Ferragni à l'événement organisé par son association contre la violence faite aux femmes, le harcèlement et l'homophobie, intitulé « Oltre il silenzio » (Au-delà du silence). « Nous prenons ce qui est utile à la collectivité et à la grande notoriété de certaines personnes qui parviennent à attirer l'attention sur un sujet social aussi important que celui-ci », ajoute M. Rienzi.