Milan, 18 septembre (LaPresse) – « Je ne pense pas que la violence soit la réponse, c'est le message que nous voulons faire passer ». C'est ce qu'a déclaré Gino Cecchettin, père de Giulia Cecchettin, poignardée à mort par son ex-petit ami Filippo Turetta, agressé en prison par un autre détenu, en commentant l'incident. « Je ne me réjouis pas qu'il ait été agressé, a-t-il déclaré à Pordenone, où il participait au festival Pordenonelegge, car cela signifie que nous avons du travail à faire. Même si, dans des contextes tels que la prison, des actes de violence peuvent se produire, ils sont condamnables. » « Nous devons faire comprendre aux gens que les sentiments qui mènent à cela sont mauvais et condamnables », a-t-il ajouté.

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