Rome, 4 nov. (LaPresse) – « Chaque jour, à la frontière russo-ukrainienne, plus de 1 500 personnes – Russes et Ukrainiens – meurent, chaque jour. Demain soir, il y aura 1 500 jeunes Russes et Ukrainiens de moins, le lendemain encore 1 500, et le jour suivant encore 1 500, dans une folie qu’on pourrait arrêter très simplement : il suffirait que Poutine y mette fin, et ce massacre cesserait immédiatement. » Mais Poutine « n’a peut-être pas encore intérêt à le faire. » C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Défense Guido Crosetto, invité de l’émission « 5 minuti » sur Raiuno.

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