C’est ce qui ressort d’une étude menée par des chercheurs du Conseil supérieur de la recherche scientifique (CSIC), un organisme public de recherche en Espagne.
Le document indique que les failles de direction de saut ont plus de potentiel pour générer des tsunamis côtiers qu’on ne le croyait auparavant.
Après avoir analysé la faille de saut active en direction d’Averroès, les auteurs préviennent que les zones côtières voisines pourraient être affectées par l’arrivée de vagues de tsunami de magnitude considérable.
“Ces vagues géantes peuvent représenter une menace pour les populations côtières, endommager les infrastructures marines et terrestres, et provoquer une crise économique et environnementale”, explique t-on.