“Je suis déterminé à terminer cette conférence demain”, samedi à déclaré M. Choukri, appelant les parties à “passer la vitesse supérieure” dans les négociations, initialement prévues pour s’achever vendredi.
“Je suis toujours préoccupé par le nombre de questions non-résolues, notamment sur les finances, l’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre, ndlr), les pertes et dommages (dégâts déjà causés par le changement climatique) et leurs liens”, a poursuivi M. Choukri, qui est également ministre égyptien des Affaires étrangères.
“J’appelle les parties à travailler ensemble pour résoudre ces questions restantes aussi rapidement que possible”, a-t-il ajouté. Sur un des dossiers importants, les financements pour les “pertes et dommages” déjà subis par les pays pauvres, souvent très peu responsables du réchauffement mais très exposés à ses impacts, les choses semblaient évoluer depuis jeudi soir.