Depuis le 28 novembre dernier, le Maroc maintient ses frontières aériennes fermées. A quelques jours de l’échéance de cette mesure prévue pour le 31 janvier, rien ne laisse présager de ce que décidera le Comité interministériel de suivi du Covid.

En attendant, compte tenu du coût élevé de la suspension des vols sur l’économie nationale et notamment le tourisme, plusieurs voix s’élèvent pour revendiquer la levée de la suspension des vols internationaux, d’autant que le variant Omicron est amplement installé au Maroc.

Une mesure faisable et soutenable sur le plan sanitaire, selon plusieurs experts qui estiment que la réouverture des frontières ne présente aucun risque pour la situation épidémiologique.

© Copyright LaPresse