Selon des médias locaux, le prestigieux restaurateur de sushis Onodera Group et le grossiste japonais Yamayuki ont raflé la mise, comme lors de l’édition de l’an dernier.
Le montant en forte hausse sur un an reflète une amélioration de la tendance du marché, après trois années de chute des prix à cause de la pandémie, qui a particulièrement pesé sur le secteur nippon de la restauration.
Cependant, le record absolu de cette vente aux enchères de thons, atteint en 2019 avant la pandémie (333 millions de yens, soit 2,7 millions d’euros à l’époque), est encore très loin.