Le Maroc recule ainsi d’une place rapport à l’année dernière. Si les principaux atouts du Royaume restent la profondeur du marché (2e) et l’accès aux devises étrangères (3e), il doit encore réaliser d’autres avancées en matière de transparence, fiscalité et environnement fiscal et réglementaire. L’accent doit aussi être sur l’environnement macroéconomique et l’amélioration de la capacité des investisseurs locaux.
Le classement est encore dominé par l’Afrique du Sud, l’île Maurice, le Nigeria, l’Ouganda, le Botswana, la Namibie, le Ghana et le Kenya. Le Maroc reste toutefois un marché avec une large disponibilité des actifs “durables” et un système fiscal “favorable”, souligne le rapport.
Le rapport prend en compte six piliers, à savoir la profondeur de marché, la capacité des investisseurs locaux, l’accès aux marchés extérieurs, les opportunités macroéconomiques, la transparence du marché, l’environnement fiscal et réglementaire, le caractère exécutoire des contrats financiers, des positions de garantie et des cadres d’insolvabilité.