En glissement annuel, la dette a augmenté de 5 % par rapport au même trimestre de l’année dernière, soit 71,458 milliards, en raison de la baisse des recettes et de la hausse des dépenses dues à la crise de la pandémie et plus récemment à la guerre en Ukraine.
Le ratio de la dette publique au PIB s’est établi à 116 %, soit un dixième de point de pourcentage de moins qu’au deuxième trimestre (116,1 %), bien qu’il dépasse toujours l’objectif du gouvernement pour l’ensemble de l’année (115,2 %), conformément au plan de stabilité et au plan budgétaire soumis à Bruxelles.
Le scénario présenté dans le programme de stabilité 2022-2025 montre une diminution progressive du déficit au cours des quatre années, jusqu’à ce que le ratio dette/PIB s’établisse à 109,7 % en 2025.