Dans cette nouvelle décision, la Commission irlandaise pour la protection des données (DPC), qui agit pour le compte de l’UE, estime que le géant numérique n’a pas respecté ses “obligations en matière de transparence”.
En outre, Meta se fondait sur une base juridique erronée “pour son traitement des données personnelles à des fins d’amélioration du service et de sécurité”, poursuit dans un communiqué le régulateur, qui donne six mois au groupe californien pour “mettre ses opérations de traitement de données en conformité”.
Cette sanction se fonde sur des motifs similaires à celle annoncée début janvier qui visait les réseaux sociaux Facebook et Instagram.