Rome, 28 mai (LaPresse) – « Il existe une clause qui prévoit une procédure de surveillance. Cette surveillance a été mise en place. Dans le cadre de cette procédure, Unicredit et Banco Bpm ont fait part de leurs observations. Nous devrons répondre à ces observations dans le cadre de la surveillance ». C'est ce qu'a déclaré le ministre de l'Économie Giancarlo Giorgetti à son arrivée au Sénat. « Entre-temps (c'est leur droit), ils ont décidé de saisir la justice. Tout le monde va devant les tribunaux dans ce pays, personne n'est privé de son droit… », a-t-il observé, ajoutant que « nous poursuivrons la surveillance et nous donnerons les réponses que nous devons donner. En coordination totale entre le MEF et le Palazzo Chigi. Absolument ». Giorgetti a souligné que « depuis le premier jour, il y a une coordination entre le palais Chigi et le MEF, entre Giorgetti et Meloni. S'il y avait le moindre désaccord, vous ne trouveriez pas l'annonce de la démission, vous trouveriez la démission, car les démissions ne s'annoncent pas, elles se font ».

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