Rome, 25 octobre (LaPresse) – « Nous n'excluons rien. Aujourd'hui, nous voulons montrer qu'une partie très importante de ce pays, comme ces dernières semaines, descend dans la rue et réclame des changements ». C'est ce qu'a déclaré le secrétaire général de la CGIL, Maurizio Landini, au départ de la manifestation « Democrazia al lavoro » (Démocratie au travail), en réponse à ceux qui lui demandaient s'il y aurait une grève contre la manœuvre. « Si nous ne sommes pas entendus et si le Parlement et le gouvernement n'acceptent pas de modifier radicalement cette loi que nous considérons comme erronée, nous évaluerons la situation et n'excluons absolument rien. Il est certain que notre mobilisation ne s'arrêtera pas là si les choses ne changent pas ».