La troisième vice-présidente du gouvernement espagnol et ministre de la Transition écologique et du Défi démographique, Teresa Ribera, a assuré, mardi, que l’Espagne ne souffrira pas d’un problème d’approvisionnement en gaz, mais d’un problème de prix, dans un contexte marqué par la guerre en Ukraine.
“S’il n’y a pas d’intervention au niveau européen, il est difficile de savoir ce qui va se passer”, a déclaré la ministre à la radio Onda Cero à propos du prix de vente actuel du gaz, qui est “bien supérieur au prix de revient”.
Contrairement à l’Allemagne, qui prépare un plan d’urgence pour l’hiver, Mme Ribera a souligné qu’en Espagne, il est “pratiquement impossible” qu’il y ait un problème d’approvisionnement.