Mohamed Chia al-Soudani, au pouvoir depuis trois mois, cherche tous azimuts des partenaires pour tenter de donner un coup de neuf au secteur énergétique irakien. Vétuste et victime collatérale de la corruption, le réseau électrique irakien est particulièrement en souffrance.
Les délestages peuvent durer jusqu’à douze heures par jour dans ce pays pourtant riche en hydrocarbures. Et, à Paris, le chef du gouvernement irakien va « chercher à activer les accords conclus entre les deux pays, notamment dans les secteurs des transports, de l’énergie et des investissements », a-t-il expliqué dans des réponses écrites à des questions soumises par l’AFP.