Le ministre de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, a affirmé que la question du surpeuplement dans les établissements scolaires est parfois causé par des données de planification à moyen terme en ce qui concerne les attentes des nombres d’élèves, la carte et bâtiments scolaires ainsi que la répartition des ressources humaines.

Ce phénomène s’explique aussi, selon le ministre, par des facteurs conjoncturels liés à la rentrée scolaire, au transfert d’établissement, au taux de réussite des élèves en plus de l’accès de certain enseignants aux classes, a ajouté  M. Bensmoussa en réponse à une question orale du groupe Justice et Développement à la Chambre des Représentants, rassurant que des efforts sont en cours pour améliorer le processus de planification.

D’autre part, le ministre a noté que l’année académique en cours a vu l’ouverture de 5.300 nouvelles classes et 15.000 emplois, ajoutant que 20.000 autres emplois seront disponibles l’année, l’objectif étant de réduire le taux de surpeuplement et « l’amélioration des résultats d’année en année. »

 

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