Aucun chiffre officiel n’a été dévoilé mais selon une estimation d’expert, le contrat représente un milliard d’euros de chiffre d’affaires sur 30 ans pour la société qui va exploiter deux centres de déchets dans ce complexe d’Al Ruways, d’une capacité annuelle cumulée d’environ 70 000 tonnes.
Le groupe français, en consortium (à 50,1%) avec la holding saoudienne Vision Invest et la société d’investissement basée à Abu Dhabi ADQ (24,95% respectivement), a signé un contrat d’acquisition de ces deux usines de traitement des déchets auprès d’ADNOC Refining.
A partir de 2023, il pilotera ainsi la gestion des déchets de la plus grande raffinerie du Moyen-Orient, et quatrième plus grande au monde, qui traite plus de 900 000 barils de brut et condensat chaque jour.