Des milliards d’êtres humains pourraient être menacés par la surexploitation des espèces sauvages, dont le trafic pèse de 69 à 199 de milliards par an, indique un rapport de l’ONU publié ce vendredi.

La surexploitation d’espèces sauvages, animaux terrestres, poissons, algues, champignons, plantes ou encore arbres, menace le bien-être de milliards d’êtres humains, dévoile vendredi un rapport de l’ONU.

Ce trafic illégal touche particulièrement les essences de bois et les poissons sauvages, indiquent les experts biodiversité de l’ONU, l’IPBES, dans ce rapport qui éclaire la dépendance de l’humanité à la vie sauvage. Cette exploitation illégale a souvent pour conséquence des niveaux de prélèvement « qui excèdent les limites biologiques de la durabilité  » de ces espèces, avertit l’IPBES.

 

 

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