Toutefois, le front très uni jusqu’ici des Occidentaux en matière de sanctions économiques semblait se fissurer lundi sur la question d’un embargo sur les ventes d’hydrocarbures russes, une option que rejette l’Allemagne, très dépendante de ses approvisionnements en gaz russe.
Le communiqué publié par Berlin à l’issue de l’entretien n’aborde d’ailleurs pas le thème des sanctions, et insiste surtout sur les “nouvelles possibilités d’aide humanitaire pour l’Ukraine” qui ont également été discutées.
Lundi, Olaf Scholz a fait savoir que les importations d’énergie fossile en provenance de Russie étaient “essentielles” pour la “vie quotidienne des citoyens” en Europe, et a assuré que l’approvisionnement du continent ne pouvait être assuré autrement à ce stade.