De nombreux sites et réseaux sociaux, y compris YouTube, ont expliqué avoir bloqué, après l’offensive russe en Ukraine, des médias et pages officielles russes car elles tombaient sous le coup de sanctions ou pratiquaient la désinformation.
Des actes de censure “russophobes”, selon Moscou. Maria Zakharova a expliqué avoir signifié au géant américain des vidéos en ligne que si ses conférences de presse hebdomadaires, diffusées en direct, étaient bloquées alors “un journaliste ou un média américain rentrera à la maison”, selon l’agence TASS.