Valence (Espagne), 29 avril (LaPresse) – Une trêve de trois jours « ne signifie rien, soit on arrive à un cessez-le-feu », soit une trêve de 72 heures « qui est ensuite violée dans 200 cas n'a aucun sens », « cela ne peut pas être la réponse de la Russie à la proposition américaine, qui va dans une toute autre direction et que nous soutenons ». C'est ce qu'a déclaré le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani, lors d'une conférence de presse au Congrès du PPE à Valence, à propos de la trêve annoncée hier par le président russe Vladimir Poutine du 8 au 10 mai.
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