Rome, 6 septembre (LaPresse) – « Copenhague, Paris, Užhorod. D'abord une rencontre avec nos amis des huit pays nordiques et baltes. Puis la Coalition des volontaires, plus de 35 pays. Visites du président du Conseil européen, du Premier ministre slovaque et du ministre suédois des Affaires étrangères dans notre Transcarpatie. De nombreuses négociations ces derniers jours, toutes visant à donner à l'Ukraine encore plus de force, encore plus de résilience. À nos côtés se trouvent toute l'Europe libre, l'Amérique, le Canada, le Japon, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et d'autres partenaires à travers le monde. Notre résultat : 26 pays sont désormais prêts à garantir la sécurité de l'Ukraine par des actions concrètes. Je suis reconnaissant à tous les dirigeants pour notre travail commun ». C'est ce qu'a écrit le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans un message sur X. « Mais avant que la paix puisse être garantie, la Russie doit être poussée à le faire. Tout doit être mis en œuvre pour que Moscou cesse de rejeter toutes les initiatives de paix et prenne conscience des conséquences de la prolongation de cette guerre. Des sanctions et des droits de douane sévères – efforts conjoints européens et américains – sont essentiels à cet égard. Il ne doit rester aucune possibilité de financer la machine de guerre russe. Ensuite, un travail transatlantique supplémentaire sera nécessaire pour garantir que la pression soit vraiment tangible », a encore écrit Zelensky.
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