Johannesburg (Afrique du Sud), 22 novembre (LaPresse) – « Nous réaffirmons notre engagement à soutenir les migrants, y compris les travailleurs migrants et les réfugiés, dans nos efforts pour créer un monde plus inclusif, conformément aux politiques, législations et circonstances nationales, en garantissant le plein respect des droits de l'homme et de leurs libertés fondamentales, quel que soit leur statut migratoire. Nous reconnaissons également l'importance de prévenir les flux migratoires irréguliers et le trafic de migrants, dans le cadre d'une approche globale pour une migration sûre, ordonnée et régulière, tout en répondant aux besoins humanitaires et aux causes profondes des déplacements. Nous soutenons le renforcement de la coopération entre les pays d'origine, de transit et de destination. Nous poursuivrons le dialogue sur la migration et les déplacements forcés lors des prochaines présidences. » C'est ce que l'on peut lire au paragraphe 115 de la déclaration des dirigeants adoptée lors du G20 de Johannesburg et publiée sur le site web du ministère des Relations internationales et de la Coopération de l'Afrique du Sud.
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