Les autorités camerounaises « devraient remettre en liberté, immédiatement et sans conditions, toutes les personnes arrêtées pour avoir exprimé leur point de vue politique ou pour avoir exercé leur droit à la liberté de réunion pacifique», ont déclaré les deux ONG.
Le 22 septembre 2020, plus de 500 personnes avaient été arrêtés par des forces de l’ordre lors de manifestations organisées contre les actions du gouvernement.