Dans un communiqué relayé par la presse locale, l’union des barreaux explique que ce mouvement de grève est lancé pour dénoncer le non-respect des droits humains et de la justice au Tchad.
Cité par des médias, le bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Tchad, Djérandi Laguerre, a fait savoir que ” les récents évènements de Sandana et d’Abéché prouvent que les droits de l’homme ne sont pas respectés au Tchad ainsi que la justice”. “C’est ainsi que ces professions libérales qui défendent les droits de l’homme ont décidé de marcher pacifiquement pour que justice soit faite “, a-t-il déclaré.