Condamné le 29 juin à 30 ans de prison pour crimes sexuels, R. Kelly dénonce ses conditions de détention dans le centre pénitentiaire de Brooklyn.
L’interprète du tube “I Believe I Can Fly” a porté plainte contre le centre de détention métropolitain de Brooklyn, où il est actuellement incarcéré. Placé, en raison de sa notoriété, dans un secteur spécial où la surveillance est accrue, notamment pour éviter tout risque de suicide, l’ex-artiste affirme être soumis à “une punition cruelle et inhabituelle” au sein de l’établissement pénitencier.
Dans sa plaint, il estime que ses droits au 8e amendement ont été violés parce qu’il “n’est pas suicidaire et a expressément dit aux responsables du MDC qu’il n’était pas suicidaire et n’avait aucune pensée de nuire lui-même ou les autres”, rapporte le média américain TMZ, qui s’est procuré le dépôt de plainte.