Le Japon a dissout, jeudi, sa Chambre des représentants, ouvrant la voie à la tenue d’élections législatives anticipées.
La dissolution de la première Chambre intervient après la nomination, le 4 octobre, de Fumio Kishida en tant que nouveau Premier ministre, dont la popularité devrait permettre au Parti libéral démocrate (PLD) et à son allié gouvernemental, le Komeito, de conserver sans difficulté leur majorité parlementaire face à une opposition affaiblie.
Un récent sondage publié par le journal Asahi Shimbun crédite le PLD de 47 % des intentions de vote contre seulement 13 % pour le PDC, les autres formations étant encore plus largement distancées.