« Notre intention n’était pas de susciter une crise mais de protéger les droits souverains de la Turquie », a affirmé Erdogan.
Les 10 ambassadeurs dont les Etats-Unis, le Canada et la France, avaient appelé dans un communiqué commun, le 18 octobre, à un « règlement juste et rapide de l’affaire Osman Kavala, privé de liberté depuis octobre 2017 ».
« Leur nouveau communiqué montre qu’ils ont reculé », a jugé Erdogan, après que les 10 pays concernés ont affirmé, par communiqués, agir en « conformité avec la Convention de Vienne et son article 41 » qui encadre les relations diplomatiques et interdit toute ingérence dans les affaires intérieures d’un pays hôte.