Dans un communiqué publié mardi, le bureau des Nations unies en Centrafrique dit ” regretter cet incident” et “condamne vivement son instrumentalisation sur les réseaux sociaux, dans une tentative de manipulation de l’opinion publique “.
La Minusca a annoncé que ses responsables sont en contact avec les plus hautes autorités centrafricaines ” pour trouver une issue dans les meilleurs délais “.
Lundi soir, quatre militaires français escortant un Général de la force de l’ONU ont été arrêtés à l’aéroport de Bangui, juste avant l’atterrissage du vol du président Touadera, déclenchant immédiatement des accusations de ” tentative d’assassinat ” du président centrafricain sur les réseaux sociaux, qualifiées par Paris et l’ONU de grossière manipulation.
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