“Pour résumer, nous avons un impact tragique de la guerre sur l’Ukraine. Nous avons une contraction importante en Russie et nous voyons l’impact probable sur nos perspectives de l’économie mondiale”, a-t-elle déclaré lors d’une table-ronde avec quelques journalistes.
Elle a d’ores et déjà indiqué que le mois prochain, lors des réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, il fallait s’attendre à une baisse des “projections de croissance mondiale”, sans toutefois avancer de chiffres.
En janvier, la prévision du FMI avait déjà été ramenée à 4,4% pour 2022, contre 4,9% en octobre et près de 5,9% l’an passé.