Les forces russes doivent être traduites en justice pour les crimes de guerre commis dans la région au nord-ouest de Kiev, estime Amnesty International vendredi dans une nouvelle synthèse publiée à la suite d’une enquête approfondie sur le terrain, fondée sur des dizaines d’entretiens et une analyse poussée de preuves matérielles.
Amnesty International a recensé des frappes aériennes illégales contre la ville de Borodianka et des exécutions extrajudiciaires dans d’autres villes et villages, notamment Boutcha, Andriivka, Zdvyjivka et Vorzel.