La Cédéao “décide de maintenir les sanctions imposées” et de “continuer le dialogue afin de parvenir à un accord permettant une levée graduelle des sanctions à mesure que les étapes de la transition seront franchies”, ajoute le communiqué.
Les mêmes dirigeants ont renvoyé à un nouveau sommet le 3 juillet toute décision sur les sanctions contre le Mali ainsi que sur la conduite à tenir à l’encontre du Burkina Faso et de la Guinée, deux pays où les militaires ont également pris le pouvoir par la force, ajoute le communiqué.
La Cédéao “exige” de nouveau des autorités de transition burkinabè et guinéenne un calendrier “acceptable” de cette transition.