Des centaines de chefs d'État et de gouvernement et des membres de familles royales sont attendus aux funérailles de la Reine Elizabeth, prévues lundi à 11 heures.
Le président américain , Joe Biden, est également arrivé dimanche à Londres pour ses derniers adieux à la reine Elizabeth. Le président américain fait partie des dirigeants mondiaux arrivés dans la capitale britannique pour assister aux obsèques de la reine , prévues lundi à 11 heures.
Dans le Westminster Hall, le flux ininterrompu de citoyens rendant hommage au corps de la monarque s’est poursuivi tout au long de la journée. Le salon funéraire ferme le lundi matin à 6h30 mais les accès seront déjà bloqués à partir de ce soir.
Parmi les chefs d’État et de gouvernement arrivés à Londres, figure aussi le président italien Sergio Mattarella. Les autorités étrangères seront accueillies par le roi Charles au palais de Buckingham pour une réception officielle avant les funérailles.
Des membres de la famille royale de toute l’Europe devraient également assister aux funérailles de demain pour la reine Elizabeth, dont beaucoup sont des parents de sang de la reine. Le roi belge Philippe et la reine Mathilde ont confirmé leur présence, ainsi que le roi Guillaume Alexandre des Pays-Bas et son épouse, la reine Maxima, ainsi que sa mère, l’ancienne reine néerlandaise, la princesse Beatrix.
Seront également présents le roi Felipe et la reine Letizia d’Espagne, les familles royales de Norvège, de Suède, du Danemark et de Monaco, l’empereur Naruhito et l’impératrice Masako du Japon. Au premier plan, les dirigeants des pays du Commonwealth. Le Premier ministre australien Anthony Albanese est arrivé au Royaume-Uni, tout comme le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern et le Premier ministre canadien Justin Trudeau.
Parmi les autres dirigeants mondiaux figurent le Taoiseach irlandais Micheal Martin et le président Michael Higgins, le président allemand Frank-Walter Steinmeier et le président français Emmanuel Macron. Le président chinois Xi Jinping a reçu l’invitation, une décision qui a été critiquée par certains parlementaires en raison du traitement réservé par Pékin à la minorité ouïghoure, mais le vice-président Wang Qishan ira représenté le gouvernement chinois.
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