“Il est bien connu que nous n’avons aucun lien avec cet événement, que nous ne visons pas les civils et rejetons les actions qui le font” a-t-il affirmé dans un communiqué publié par l’agence de presse Firat, proche du PKK.
Nous sommes un mouvement qui mène une lutte de libération juste et légitime. (…) Il n’est donc pas question de viser les civils de quelque manière que ce soit en Turquie”, a ajouté le communiqué signé par le Centre de défense du peuple, organisme du PKK. Le mouvement armé kurde a par ailleurs accusé le gouvernement turc d’avoir “des plans obscurs” et de “montrer Kobané comme cible”.
Plus tôt dans la journée, la police turque avait affirmé qu’une jeune femme de nationalité syrienne, interpellée dans la nuit, avait reconnu les faits et avoir agi “sur ordre du PKK”. Elle aurait reçu des directives en ce sens à Kobané, dans le Nord-Est de la Syrie, ont rapporté des médias turcs.