La Turquie a effectué le 20 novembre une série de raids aériens dans le nord-est de la Syrie sur des positions de combattants kurdes, membres de groupes qu’elle qualifie de “terroristes”. Et son président Recep Tayyip Erdogan a réitéré la semaine dernière son intention d’ordonner, “le moment venu”, une offensive terrestre.
Le ministre “a appelé à la désescalade et partagé la forte opposition du ministère de la Défense à une nouvelle opération militaire turque en Syrie”, a déclaré le Pentagone dans un communiqué.
Il a aussi présenté ses condoléances pour les victimes de l’attentat d’Istanbul, qui a fait six morts et plus de 80 blessés le 13 novembre. La Turquie a accusé les Kurdes de l’avoir commandité, ce qu’ils ont démenti.