Rome, 7 février (LaPresse) – « Avec la Cpi, ce qui s'applique à l'Europe s'applique, ce n'est pas que si vous êtes pro-européen, vous devez toujours être d'accord avec tout. Critiquer ne signifie pas s'opposer aux institutions. Je trouve d'ailleurs tout à fait légitime de contester certaines attitudes de la Cour, qui a pris des décisions politiques. Les institutions sont faites d'hommes, et si je conteste, par exemple, que l'ONU ait agi tardivement sur l'Ukraine, je ne remets pas du tout en cause la fonction des Nations unies ». C'est ce qu'a déclaré le ministre des affaires étrangères et vice-premier ministre Antonio Tajani dans une interview accordée à La Stampa.
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