Rome, 28 février (LaPresse) – « Nous avons apprécié la disponibilité à la rencontre manifestée par la présidente du Conseil Giorgia Meloni ». Mercredi, « nous voudrions expliquer les raisons spécifiques et non idéologiques ou de préjugé » contre la réforme. « Quelles sont les raisons pour lesquelles nous pensons », avec la protestation « de protéger également les citoyens ». C'est ce qu'a déclaré le président de l'ANM, Cesare Parodi, interviewé sur Agorà sur Rai3. « Nous ne contestons pas que le gouvernement et le parlement suivent une voie que nous savons être absolument constitutionnelle, dit-il. Mais certains principes de la Constitution qui seront modifiés sont importants pour nous. » « Les magistrats ne font pas grève pour eux-mêmes, mais dans l'intérêt d'un État dont ils sont une partie active et fondamentale », ajoute-t-il. « Nous sommes totalement en faveur de la Constitution et nous protestons contre les modifications que nous ne partageons pas, tout en sachant qu'elles sont faites de manière tout à fait légitime.
© Copyright LaPresse