Milan, 30 mars (LaPresse) – "Seul celui qui n'est pas fort dans ses idées craint le confrontation. Avec Calenda, nous sommes d'accord sur certaines choses, sur d'autres non. Évidemment, par respect mutuel, dans ce genre de contexte, nous mettons en avant les sujets sur lesquels nous sommes les plus en phase. Calenda s'oppose fermement au gouvernement, mais pas à l'Italie. Sans préjugés. Nous sommes prêts à écouter quiconque a quelque chose à dire. Calenda soulève des questions concrètes, comme sur le nucléaire : il a lancé un appel au dialogue que la majorité a recueilli." C'est ce qu'a déclaré Giovanni Donzelli, responsable de l'organisation de FdI, dans une interview au quotidien La Repubblica, après la participation de la Première ministre Giorgia Meloni au congrès d'Azione dirigé par Carlo Calenda. Et lorsqu'on lui a demandé si une alliance entre le Centre-droit et Azione pourrait se former en vue des élections régionales dans les Marches pour soutenir Francesco Acquaroli, Donzelli a répondu : "Je pense que oui."
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