Rome, 16 avril (LaPresse) – « Stefano et Virgilio Mattei ont été brûlés vifs dans leur maison. Deux jeunes innocents, tués par la fureur idéologique et la haine politique. Se souvenir d'eux aujourd'hui n'est pas seulement un devoir moral : c'est un acte de justice envers la vérité et l'histoire. Parce que rien ne se construit sur la haine. Et parce que certaines horreurs ne doivent plus jamais se reproduire. N'oublions pas. » C'est ce qu'écrit la présidente du Conseil, Giorgia Meloni, à l'occasion du 52e anniversaire du massacre de Primavalle, survenu le 16 avril 1973.

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