Rome, 9 mai (LaPresse) – « Nous sommes le seul continent au monde où la peine de mort n'existe pas. Il ne faut pas l'oublier, car défendre l'Ukraine n'est pas une question d'amitié, c'est défendre un principe selon lequel personne ne peut penser – simplement parce qu'il a plus de soldats ou qu'il est plus riche – qu'il peut envahir un autre pays. En somme, dans ce cas, l'Europe défend le droit international, elle défend la liberté ». C'est ce qu'a déclaré le ministre des Affaires étrangères et vice-Premier ministre Antonio Tajani en marge d'un événement organisé par FI pour présenter la candidature de Rome au titre de « Capitale européenne de la culture ».

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