Government, Bonelli: "Lower the tone, I was threatened by Bandecchi"

Rome, 13 sept. (LaPresse) – « Ceux qui ont des responsabilités gouvernementales devraient être les premiers à baisser le ton, mais au contraire, on continue d’alimenter un climat de haine et d’agressivité qui risque de devenir incontrôlable. » C’est ce qu’affirme dans une interview à La Stampa le leader d’Avs, Angelo Bonelli, qui dénonce avoir été menacé après un post du maire de Terni, Stefano Bandecchi. « Dans un commentaire à propos d’une de mes initiatives, il a écrit : ‘on est à la fin, allons chercher les fusils’ – raconte Bonelli – et sous ces mots sont arrivés des insultes et des menaces, Bandecchi allant jusqu’à me traiter de traître à la patrie et disant que cela finira mal pour moi. » Bonelli explique avoir déjà chargé ses avocats de déposer une plainte : « J’ai tout donné à l’avocat. Même l’autre jour, en me promenant avec ma fille de neuf ans, j’ai été insulté et menacé dans la rue. J’ai fait semblant de ne rien voir pour ne pas l’effrayer, mais c’est une situation qui fait peur. Je veux continuer à vivre librement, prendre les transports en commun, sans avoir à craindre des agressions. » « Le gouvernement Meloni – conclut-il – devrait dire clairement : baissons le ton. Au lieu de cela, il se tait. »