Rome, 16 octobre (LaPresse) – « Mardi soir, invitée par Giovanni Floris dans l'émission « Di Martedì », lors d'une interview de dix minutes que tout le monde peut facilement revoir, en réponse à une question sur l'accord de trêve au Moyen-Orient, j'ai immédiatement clarifié, afin d'éviter tout malentendu ou instrumentalisation du terme utilisé, ce que je voulais dire : que Meloni a suivi Trump, qu'elle a été à la cour de Trump, qu'elle a été la porte-parole de Trump. J'ai évidemment exprimé un jugement politique sur l'absence de rôle de notre gouvernement et de sa présidente du Conseil ». C'est ce qu'affirme, dans une note, le secrétaire général de la CGIL, Maurizio Landini.

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