Milan, 20 octobre (LaPresse) – « En ce qui concerne les banques, je ne pense pas qu'il faille adopter une attitude punitive. Outre le fait qu'il n'y a pas un seul parti au gouvernement, mais trois, il n'est donc pas question que l'un décide pour les autres. On peut faire des propositions et ensuite, si quelqu'un les approuve, elles sont mises en œuvre, sinon elles restent en suspens ». C'est ce qu'a déclaré le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et secrétaire de Forza Italia, Antonio Tajani, lors d'une conférence de presse en Slovénie, où il a participé au sommet des pays du sud de l'Union européenne Med9.
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