Rome, 7 novembre (LaPresse) – La question des addictions « est une réalité extrêmement complexe qui nécessite des réponses concrètes, courageuses et visionnaires. Pour les élaborer, je dois cependant dire qu’il faut aussi de l’humilité. L’humilité d’admettre que nous n’avons pas toutes les réponses dans ce scénario potentiellement dramatique, qui avance plus vite que nous, plus vite que notre imagination, et donc l’humilité de se confronter et de demander de l’aide à ceux qui peuvent contribuer à trouver ces réponses pour ceux qui vivent quotidiennement cette réalité. » C’est ce qu’a déclaré la Première ministre Giorgia Meloni lors de la première journée de la VII Conférence nationale sur les addictions, qui se tient au centre de congrès « Auditorium della Tecnica » à Rome. « Le gouvernement, cependant », a ajouté la Première ministre, « doit avant tout mettre à disposition les outils permettant de travailler au mieux. Nous avons donc commencé par la question la plus tangible, à savoir les ressources disponibles. De 2024 à 2025, l’investissement économique a doublé, atteignant près de 165 millions d’euros, un chiffre jamais disponible auparavant. Il s’agit de ressources clairement décisives pour résoudre des problèmes de longue date qui devaient être abordés. »

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