Rome, 8 nov. (LaPresse) – « La baisse des impôts réapparaît cycliquement dans les promesses électorales de la droite. Sous trois ans de gouvernement de Giorgia Meloni, il s’est produit exactement le contraire. La pression fiscale était de 41,7 % du PIB en 2022 ; en 2025, elle est montée à 42,8 %. C’est le niveau le plus élevé des dix dernières années. Concrètement, cette année, les familles et les entreprises italiennes paieront 25 milliards d’euros de plus que si la pression fiscale était restée au niveau de 2022. Ce sont les faits. Les paroles sont inutiles. » C’est ce qu’a écrit sur X le responsable Économie du PD, Antonio Misiani, en republant le post de la Première ministre Giorgia Meloni sur la taxe sur la fortune.
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