Milan, 14 novembre (LaPresse) – « Nous ne pouvons pas ne pas saluer un ami des travailleurs et des travailleuses qui a fait du vendredi son jour de référence. Vous ne pensez tout de même pas à ce gréviste professionnel qui s'appelle Maurizio Landini ? C'est une coïncidence si la grève a toujours lieu le lundi ou le vendredi, jamais le mercredi. Je remercie les syndicats qui poussent et critiquent le gouvernement, mais qui ne prennent pas les travailleurs en otage. La CGIL tient en otage des millions de travailleurs italiens ». C'est ce qu'a déclaré le vice-Premier ministre et secrétaire de la Ligue, Matteo Salvini, lors d'un événement organisé en soutien à Edmondo Cirielli, au Palapartenope de Naples, d'où ont fusé des sifflets à l'encontre du leader de la CGIL.
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