Rome, 21 nov. (LaPresse) – "Les actions de sensibilisation dans les écoles contre la violence envers les femmes, promues par ce gouvernement, sont nombreuses, et parmi elles figure l'éducation au respect introduite par le ministre Valditara." C'est ce qu'a déclaré Eugenia Roccella, ministre pour la Famille, la Natalité et l'Égalité des chances. "En ce qui concerne les stratégies de prévention," poursuit-elle, "notre objectif est de réduire les féminicides, et la conférence internationale organisée aujourd'hui à Rome vise précisément à échanger des expériences efficaces et des données fiables. Si ceux qui n'ont pas manqué l'occasion de polémiquer poursuivent le même objectif que nous, nous attendons qu'ils communiquent des données démontrant l'efficacité de l'éducation sexuelle dans la réduction des féminicides et de la violence contre les femmes, sur la base de preuves et de corrélations. Nous sommes toujours ouverts au débat et à la discussion à ce sujet. Si, au contraire, il s’agit d’une polémique de pure forme, car pour une partie de la gauche, le grand travail du gouvernement contre la violence est déroutant, tout commentaire est superflu. Aujourd'hui encore, l'ONU, par la bouche de la rapporteuse spéciale sur la violence, a qualifié la nouvelle loi italienne sur les féminicides de modèle. Nous sommes heureux de l'avoir partagée avec l'opposition et avons démontré notre volonté de réelle collaboration dans la lutte contre la violence ; à gauche, il semble parfois que c’est l’agacement qui l’emporte à l’idée que ce gouvernement est l’un des plus efficaces de tous les temps dans l’action contre la violence, mais nous continuerons, comme toujours," conclut Roccella, "à rechercher le plus large consensus possible."
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